Dans un décor sans âge;
Trône sur son piédestal;
Une divinité oubliée qui fut aimée;
Mais l’éternité à transformée en cendres;
Ses adorateurs aux visages d’anges;
Devenue aigris, corrompue et pleine de jalousie;
Son cœur
a pris l’apparence d’une pierre noire et translucide;
Toute la poussière à ses pieds fut autrefois de nombreuse présente enviée;
Même si vous demandez au plus ancien des dieux son nom;
Il ne pourra vous répondre;
Et pourtant
elle reste figée là entre vie et trépas;
Sans avenir, sans passer jusqu’à que même le néant est oublié d’exister…