Un simple rituel figé entre le mouvement,
Et l’instant propice à la contemplation,
Laisser croître en harmonie naturel,
Les effluves vers le firmament,
Liquide céleste resplendissant,
Les prêtres agonisants tentent désespérément,
D’être
les gardiens d’un savoir hermétique,
Face à la nature même de la connaissance,
Libre de se porter par un regard au travers des esprits éclairés,
Rien ne peut arrêter la croissance libérée,
Ils le savent,
Leur temps compté,
Comme
dans un geste désespéré,
Ils se replient sur eux même flairant la peur à plein nez,
Et au lieu d’intégrer la nouveauté,
Choisissent de se vautrer dans la fange de l’intégrisme décomplexé…